Petite question pour ne pas faire de faute... Faut-il écrire:"Pour qu'il n'y ait pas de confusion, je ne vous joins pas ce document." ou"Pour qu'il n'y a pas de confusion, je ne vous joins pas ce document."? Ainsi que pour..."Il se peut que vous n'ayez pas reçu mon email ou que votre courrier ne m’a pas été livré." ou
Share, comment, bookmark or report
0. La règle est la suivante : s’il y avait eu plusieurs fleurs, on met le pluriel : – il n’y a pas de fleurs sur cette table ( en général, on en met plusieurs). – un magasin sans clients – je suis sans nouvelles de lui (j’ai eu des nouvelles) – un gilet sans manches (en général, deux manches…) et un arbre sans feuilles.
Share, comment, bookmark or report
Dans le cas de votre phrase sans que ne doit pas être suivi de ne. Vous devez donc écrire : (seule formulation correcte) Ses cils battent sans qu’il y pense. Sans que employé dans un contexte négatif. On évite le « ne » explétif pour qu’il n’y ait pas confusion avec le « ne » négation parfois mis par erreur.
Share, comment, bookmark or report
qu’il ait, qu’il n’ait ? Bonjour, Qu’en dites-vous, les voltairiens ? « sans qu’il ait jamais eu besoin de rien dire » ou « sans qu’il n’ait jamais eu besoin de rien dire » ? Pour vous améliorer en orthographe, testez les modules d’entraînement du Projet Voltaire : Il ne faut pas accompagner « sans que » de « ne ».
Share, comment, bookmark or report
Vous n’avez bien sûr pas à appliquer les contraintes de temps mentionnées dans les autres réponses. Dans votre cas, l’antériorité de la subordonnée (son dossier a été retenu) est marquée par un temps passé, c’est bien normal. Donc : « il est ravi que son dossier ait été approuvé « .
Share, comment, bookmark or report
Plus ancien. 1. La réponse, si elle est positive, exprime la certitude (Il y a) : emploi de l’indicatif. « Pensez-vous qu’il y a des choses inutiles ? » (la réponse pourrait être : oui, il y a des choses inutiles). La réponse, si elle est positive, exprime le doute, la possibilité (il se peut qu’il y ait) : emploi du subjjonctif.
Share, comment, bookmark or report
0. « Difficulté » est à prendre au sens absolu. Avoir de la difficulté à/pour : ressentir comme difficile Avoir beaucoup de difficulté à/pour faire telle ou telle chose. Voyez la différence de sens dans la phrase suivante où « difficulté » est mis au pluriel : Ce parcours présente beaucoup de difficultés (d’obstacles).
Share, comment, bookmark or report
Re : qu'il ait/qu'il n'ait. Acasio, le ne explétif, c'est finalement un"ne" qui ne sert à rien : le sens est le même qu'il soit présent ou pas."J'ai bien peur qu'il n'ait rendu l'âme" a un sens opposé à"J'ai bien peur qu'il n'ait pas rendu l'âme". Ce qui peut causer quelques fâcheux malentendus !
Share, comment, bookmark or report
Vous avez raison de douter car le subjonctif qui s’emploie avec « que » n’est pas correct ici. Il n’y a rien qui ne puisse être expliqué. Il faut qu’il n’y ait rien à expliquer. Donc la phrase donnerait : Il n’y a rien, sur terre comme au ciel, qui ne peut être expliqué (vu que ça exprime une certitude).
Share, comment, bookmark or report
* Cela ne prouve pas qu'il est venu / qu'il soit venu. Ici la différence est infime. Ici la différence est infime. Brièvement, je concluerais qu'il n'y a d'autre règle que celle de l'usage ou du choix de l'auteur, les nuances restant faiblement marquées, mais pas de règle grammaticale stricte.
Share, comment, bookmark or report
Comments